Le conte de la création du lac de Siurana

Je voudrais vous rapeller tout de suite, que la pire des mauditions tombera sur celui qui osera publier un commentaire sur cette meme page, et que les pages de commentaires existent, et servent a quelque chose (ou comme dirait mon ancienne prof. d'espagnol: 'Elles ne servent pas a cultiver de la poussière'). Donc, cette histoire, tout comme l'indique le titre est l'histoire de la création du lac de Siurana.

Prochaine apparition de la continuation... Euh désolé. Du début.



Petit édit (ha ! c'est pas un commentaire !) : c'est malédictions pas mauditions, sinon tu perds de ta crédébilité

Il était une fois, dans un petit village appelé Siurana, vivait une famille très pauvre, un père, une mère et un fils. Dans ce village, tout le monde était paysan, et tout le monde avait sa propre parcelle à cultiver pour alimenter leurs familles, sauf la famille pauvre. Et un jour le mari dit:
-Femme, c'est n'est pas possible de continuer comme ceci! Tout les hommes ont une parcelle, mais moi, j'en ai pas, pourtant, a partir de demain, je chercherais, et je chercherais, jusqu'a ce que j'en trouve une!
-Très bonne idée mari.
Le lendemain matin, il se leva très tot, et vit les paysans faire de même pour aller travailler au champs. Et il pensa 'Dans peu de temps, je ferais pareil qu'eux!' Il descendit le chemin qui mene vers la valée, et tout en bas, il y avait un champ vide. Il pensa 'Non, ce n'est pas possible qu'il n'est pas de propriètaire, il doit forcément appertenir a quelqu'un.' Et il se retourna et poursuivit son chemin. Il chercha dans toute la vallée, mais il ne trouva rien.

Il arriva donc chez lui, tard le soir, sa femme dinait déjà, il s'assit a table et commença a manger. Alors sa femme lui demanda:
-Alors mari?
-Rien femme, je n'ai rien trouvé. C'est incroyable! Mais, vois tu, j'en ai trouvé une, qui était vide, tout en bas de Siurana. Sait tu a qui elle appartient?
-Ne t'approche pas de cette terre!! Elle est madite!
-Maudite? Comment-ça maudite? Est-tu sure femme?
-Si, si! Puisque je te le dis! Toute personne ayant essayé de cultiver cette terre a disparu...
-Quoi?
-J'ai di que toute personne ayant essayé de cultiver cette terre a disparu.
-Oui ça j'ai compris, mais que veux tu dire quand tu dis 'disparu'?
-Ba ils ont disparu! Pouf! Comme ça! Comme par magie! Comme si la terre les avait avalé!
-Mais...
-Nan mari! Ne dis plus rien, je t'interdis d'aller cultiver cette terre.
-D'ac...
-Chut!
-Ou...
-Shh!
Elle le regarda avec des yeux grands ouvert, comme en le désafiant d'essayer de dire quelque chose, et le mari, tete basse, finit de manger sans rien dire, et alla se coucher.