Littératuria Le pays des littératuriens, petits êtres minuscules qui ont une sensiblité littéraire beaucoup plus grande que la nôtre. |
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| Les colliers de Merlin | |
| | Auteur | Message |
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Cheval des rêves Petit tigre
Messages : 107 Date d'inscription : 25/10/2011 Age : 26 Localisation : Dans les nuages calme....
| Sujet: Les colliers de Merlin Jeu 29 Mar - 21:53 | |
| Une nuit froide régnait dans la forêt sombre. La lune se reflaitait sur le grand lac. On entendait au loin les hululements d'unr garnd hibou perché sur une branche. Un homme parcourait l'immense forêt sur un cheval blanc comme la neige. Les feuilles tombées sur le chemin craquaient sous les sabots du cheval. L'homme portait une longue cape qui flottait dans l'air. Le souffle du cheval était si forts que les hiboux cessaient d'hululer à leur passage. L'homme était pressé. Il n'arrêtait pas de talonner le pauvre animal. Au loin, un énorme rocher illuminé par la lune bloquait la route. En le voyant, l'homme tendit son bras vers le rocher et prononça des mots étranges. Soudain, le rocher se fendit en deux pour laisser pénétrer le cheval et son cavalier. Le rocher se referma aussitôt rapidement. L'homme arriva dans un grotte profonde. Il y avait, au bout du couloir su salon avec une cheminée allumée. L'homme mit pied à terre, laissa derière lui son cheval et se dirigea vers le salon à grand pas. Sa longue cape lui donnait un air sinistre mais à la fois majestueux. Devant la cheminée, il enleva sa capuche puis s'agenouilla, les yeux fixés au sol: "....nous en avons trouvés trois, mon seigneur!" Le feu brûlait vif, quand celui-ci prit la forme d'un homme, dont on ne pouvait pas distinguer la tête: " Excellent, mon garçon! Allez prévenir les autres! Vous irez les chercher dès demain, à l'aube.... Partez, à présent! - Bien, père!" L'homme releva sa tête et fixa l'homme de feu. Il portait une balafre sur l'oeil gauche. Ses yeux, noirs comme le charbon, montraient en lui une haine terrible. L'homme remit sa capuche, monta en selle et se dirigea vers la sortie qui donait la forêt. L'homme de feu seul dans le salon: "C'est bientôt l'heure! Le monde ne m'obéira qu'à moi!" L'homme rit d'un air maléfique. Sa voix resonnait dans la grotte. "Tes tours ne te serviront de rien, Merlin! Ta magie a dispparue! Tu n'es plus parmie nous, tu ne peux rien contre moi! Les colliers seront bientôt en mon pouvoir!" Fin du premier chapitre! J'espère qu'il vous a plu. En ce momment, je suis en train d'écrire l'histoire et bien évidemment la deuxième partie! | |
| | | Cheval des rêves Petit tigre
Messages : 107 Date d'inscription : 25/10/2011 Age : 26 Localisation : Dans les nuages calme....
| Sujet: Re: Les colliers de Merlin Dim 29 Avr - 6:09 | |
| L'air était frais ce matin. Déjà, le soleil illuminait les rues remplies de piétons et d'automobiles. Les enfants se précipitaient dans la rue, accompagnés de leur parents. Les jeunes sortaientde chez eux, pressés de prendre le bus. Mais une fille, sur laquelle nous allons nous fixer, marchait tranquillement, contemplant le ciel. Ses cheveux bruns brillaient au soleil, leur donnant un ton d'or. Ses grands pas lui donnait un air majestueux. De son sac, pendouillait un porte-clef en forme de lionne, objet surveillé par une ombre qui suivait la jeune fille depuis un bon moment.
Tout à coup de la jeune fille se fixa sur un petit chaton roux qui marchait dans la rue perdu au milieu de la foule. La fille le regarda. Elle sentit son coeur se serrer. Qui peut bien avoir abandonné un animal si mignon. Elle allait sortir de son sac son sandwich et donner la jambon au chaton quand le pauvre animal fut envoyé sur la route par un coup de pied d'un piéton. Horreur! Déjà, des voitures se précipitaient sur le chaton effrayé. La fille laissa son sac par terre et d'une grande hagilité, elle se jetta sur le chaton et le prit juste avant que les autres voitures n'arrivent. Tout se passa aussi vite que la fille vit toute sa vie défiler en un seul moment. Elle faillit mourir. Elle se releva, la boule de poil rousse dans ses bras Celle-ci lui lécha la joue en guise de remerciment:
" Et bien, petit, on peut dire que tu l'as échappé belle!" La fille ramasa ses affaires sous les regards des passants qui s'étaient arrêter pour regarder la scène, comme dans un film d'action. La fille se dirigea vers le centre vétérinaire le plus proche, celui de son oncle Steven.
Le chaton ronronnait dans ses bras, les yeux fermés. Soudain, la fille fit une grimace et regarda sa jambe: elle s'était écorchée le genou droit. Son pantalon était un peu déchiré, laissant un fil de sang couler. À chaque pas fait, la douleur insupportable lui revenait mais elle l'effaçait de sa tête.
L'ombre la suivait encore, toujours aussi discrète. Mais maintenan, elle souriait. Elle avait l'esprit de la jeune fille et sa force intérieur. C'était elle! Son agilité et sa rapidité affirmaient ses soupçons. C'était bien elle! Elle l'avait trouvé!
Voici le deuxième chapitre rectifié!
J'espère qu'il vous plaira!
Prochainement: Chapitre 3 | |
| | | Poussière d'étoile Lapinou tout chou (sans plus)
Messages : 733 Date d'inscription : 02/03/2012 Age : 26 Localisation : dans l'éspace infini...
| Sujet: Re: Les colliers de Merlin Mer 2 Mai - 1:45 | |
| Prochainement, d'accord...Mais quand, exactement? | |
| | | Cheval des rêves Petit tigre
Messages : 107 Date d'inscription : 25/10/2011 Age : 26 Localisation : Dans les nuages calme....
| Sujet: Re: Les colliers de Merlin Jeu 31 Mai - 4:42 | |
| Troisième chapitre
« Aïe ! Ça fait mal ! s’écria la jeune fille.
-…voilà ! Ça y est ! Avec ce bandage tu n’auras plus mal ! dit l’infirmière en appliquant le pansement sur le genou de la fille. Attends ici ! Je vais te donner une pommade.
-D’accord ! »
L’infirmière se leva et quitta la salle. La jeune fille essaya de bouger le genou. Elle avait encore mal ! Elle fit une grimace de douleur et s’allongea sur le lit. Elle pensait à quelque chose qu’elle avait senti quand elle était avec le chaton. Comme si quelqu’un la suivit. Mais elle n’était pas sûre de ça. Tout à coup la porte s’ouvrit. Une fille et un garçon du même âge que la blessée apparurent. La fille avait des cheveux courts et blonds, ses yeux bleus lui donnaient un air pur et marin. Elle avait un collier avec un cheval dessus. Dans sa main, elle portait un paquet de biscuits ainsi qu’un jus de fruits. Le garçon aux cheveux noirs portait un t-shirt bleu foncé avec les initiales F.B.I. Il portait un bracelet un cuir en forme d’aigle.
« Alors ? Comment va notre petite blessée ? demanda la fille aux cheveux blonds.
- Hahaha….très drôle !
- Comment tu t’es fait ça ? demanda le garçon.
- Voyons, Jack ! Je suis sûre qu’elle s’est mit dans une affaire d’animaux…pas vrai, mademoiselle Kiara ?
- Oui, bon ça va… » répondit Kiara, la tête baissée, honteuse.
- C’est vrai ? Et c’était quoi, cette fois-ci ?
- Un chaton roux est tombé dans la rue et je l’ai sauvé d’une mort certaine.
- D’un aigle ? demanda Jack, enthousiasmé.
- Mais non, Jack ! Tu sais bien qu’il n’y a pas d’aigle en ville.
- Séraphine a raison, Jack, répondit Kiara. ….mais cette fois-ci, c’était différemment.
- Comment de différent ?
- Et bien…c’est…une sensation…étrange… comme si quelqu’un me suivait…je crois…
- T e suivre ? demanda intrigué Jack.
- Oui…je crois…mais peut-être que ce n’est que des impressions… »
Kiara resta un moment en silence, cherchant à comprendre si c’était vraiment quelqu’un ou juste une impression. Tout à coup, la cloche sonna : la récréation était finie. Jack regarda Kiara. Elle se leva du lit et se mit debout à l’aide de son ami. Jack demanda à la fille aux cheveux blonds :
« Séraphine, tu peux ouvrir la porte, s’il te plaît ? »
Séraphine exécuta l’ordre. Elle ouvrit la porte de l’infirmerie. Jack et Kiara sortirent. Séraphine prit le sac de son amie et tous trois se dirigèrent en classe.
Quatrième chapitre
Le soleil était moins fort qu’à midi. On était en plein après-midi. Les enfants sortaient du collège en courant. Kiara attendait à la sortie de l’école ses amis. Ils rentraient toujours ensembles. Quand elle les aperçus, elle les salua de la main. Jack et Séraphine se précipitèrent à la rencontre de leur amie. Ils se regardèrent tous les trois et partirent vers la droite. Les enfants, tout en parlant descendirent la rue puis tournèrent à gauche, puis à droite jusqu’à arriver au feu rouge. Là, ils se saluèrent : chacun prenait une direction différente. Kiara s’éloigna d’eux, tout en boitant encore. Enfin seule, elle repensa à l’impression qu’elle avait eu le matin. Elle se remémora la scène du chaton, tous le détails qu’elle a pu oublier. Elle marchait lentement, mais les gens qui passaient devant elle diraient qu’elle courrait. Sa blessure n’était pas encore cicatrisée. Elle s’arrêta pour refaire son lacet. Elle s’abaissa en grimaçant, quand tout à coup, elle sentit un grognement qui provenait de derrière un poteau électrique. Elle se retourna. Rien. Elle se remit à son lacet mais elle sentit cette fois-ci l’haleine de la personne ou chose qui la suivait depuis ce matin. Elle se leva doucement et se retourna. En voyant la chose, elle poussa un cri aigu, sursauta et tomba les fesses par terre. Elle avait devant elle un énorme loup gris blanc. Ses yeux était d’un bleu très clair comme la mer. Son pelage blanc resplendissait au contacte de la lumière. Il avait une cicatrice sur son œil gauche. Il regardait la fille tranquillement. Kiara recula lentement, les yeux toujour fixé à ceux de l’animal. Mais le loup continuait à avancer vers le jeune fille. Kiara sentait la mort proche et se protégea avec ses bras, les yeux fermés :
« Gentil loup…ne me mange pas….s’il te plaît ! »
Le loup recula alors et s’allongea comme si l’on lui avait donné l’ordre. Le loup regarda Kiara et fit quelque chose qui surprit Kiara :
« Pourquoi devrais-je te manger ? »
Le loup avait parlé ! Kiara ouvrit les yeux et s’avança vers le loup parlant. Elle avait les yeux ronds. C’était incroyable ! Comment est-ce possible ? Un loup qui parle ?! Mais ça n’existe pas !
« Tu…tu parle vraiment ? balbutia Kiara.
- Mais évidement ! Sinon, comment tu me comprendrais ? »
Il avait raison. Kiara réflexiona sur ce qu’avait dit ce loup étrange. Mais ses pensées furent coupées par la reprise de parole du loup :
« Bon, allons droit au but ! Chère Kiara, je suis Groel, ton nouveau professeur de magie !
- De…de magie ? Mais de quoi tu parle ! La magie n’existe pas ! »
Kiara se leva en criant au loup. Les gens s’arrêtaient la regarder et repartaient en riant, en voyant une fille qui parle à un chien.
« …si tu ne veux pas faire le ridicule, suis-moi... Nous avons besoin d’un endroit plus calme. »
Kiara regarda le loup qui se mit debout et acquiesça de la tête. Le loup se mit en marche, Kiara à ses côtés. Tout en marchant, elle regardait le loup. Elle ne finissait pas d’y croire. Un loup qui parlait. C’était vraiment absurde. Elle se dit que ce vendredi là était bien étrange. D’abord cette sensation, puis après cette rencontre inattendue d’un loup énorme qui lui disait être son nouveau professeur de magie. Le loup sentit que la fille le regardait et lui demanda :
« Qu’y a-t-il ?
- …euh…non, rien ! »
Ils continuèrent à marcher pendant une quinzaine de minutes. Ils s’engouffrèrent dans un quartier sombre et très sinistre. En passant par la rue, on voyait les vidres des fenêtres cassées, les rideaux déchirés, pleins de bouteille par terre. C’était vraiment une déchèterie, ici. Kiara en avait la chère de poule. Elle se demandait comment est-ce qu’elle avait fait pour finir dans cet endroit là. Groel s’arrêta devant une énorme maison :
« Nous y voilà enfin ! »
Kiara regarda la maison. Elle devait être abandonnée depuis des siècles. Le jardin était en mauvais état. Des plantes vertes foncées qui poussaient grimpaient les murs qui entourait la maison. On aurait dit plutôt une maison hanté, avec son aspect. Groel se dirigea vers le portail qui s’ouvrit seul, comme par magie. Le loup entra dans le jardin et se dirigea vers la porte d’entrée de la maison. Kiara passa devant le portail. Des figures étranges y étaient représentées. Tout en haut, il y avait un lutin penché sur chaque portail. Elle s’arrêta pour mieux le voir. Un portait un petit chapeau noir, des pantalons et une paire de chaussures noires. Il avait les sourcils froncés.
L’autre portait un chapeau bleu, un pantalon bleu et des chaussures bleues. Mais son visage était serein. Il n’avait pas les sourcils froncés. Kiara voulut toucher le petit nez pointu du lutin noir mais tout à coup, le lutin prit vie et écarta la main de Kiara de son nez :
« Qui t’as dit que tu pouvais toucher mon nez, hein ? »
Kiara s’écarta de lui, les mains derrière son dos. Elle regardait le petit lutin noir. Il n’arrêtait pas de la menacer, mais la fille ne l’écoutait pas. Soudain, une voix calme se fit entendre :
« Calme-toi, Brutus, ce n’est qu’une petite fille !
- Me calmer, moi ? C’est hors de question ! Elle a voulut toucher mon nez !
- Mais elle ne savait pas que tu pouvais parler. C’est une des nouvelles ! »
Kiara écoutait la conversation des deux lutins opposés. Elle fit attention au mot « une des nouvelles » qu’avait prononcé le lutin bleu. Il y en avait d’autres, de nouveau ? Elle n’était pas la seule ? Les lutins continuaient leur discussion :
« Une nouvelle ? Hahaha ! Et bien, je vais lui dire deux mots, à cette nouvelle : tout ce qui est ici est magique, tu m’entends ? MA-Gi-QUE !
- Voyons, Brutus, soient plus aimable avec elle !
- Non, non et non ! Ce n’est pas parce que monsieur Louis le Bleu est aimable avec elle, que je dois l’être également !
- Et bien si, précisément.
- Non !
- Si !
- Non !
- Si ! »
Leur querelle ne finirait jamais. Kiara laissa les deux lutins parler comme ils veulent et rejoignit le loup Groel. Le loup poussa la porte de sa patte qui grinça. Le bois devait être très vieux. La maison était maintenant ouverte. Groel entra dans l’étrange maison. Kiara hésita un moment mais se décida et entra. Tout était noir, on n’y voyait rien. Elle marchait à tâtons, craignant de cogner avec quelque chose. Le loup marchait tranquillement. Tout à coup, ses poils blancs brillèrent de mille feux. Une boule jaune blanche se forma au-dessus de Kiara et se divisa en plusieurs morceaux qui allumèrent la pièce. Les chandelle allumées, Kiara y voyait beaucoup mieux. On dirait l’accueil d’un château. À droite et à gauche, plusieurs tableaux décoraient les murs. Au fond, un énorme escalier montait vers un premier étage. Elle regarda l’animal blanc qui lui annonça :
« Bienvenue au château des magiciens ! »
Et voilà!!! Comme j'ai mis un peu de temps, je vous ai posté le troisième et le quatrième chapitre en même temps!!
Régalez-vous et bientôt la suite!
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| | | Poussière d'étoile Lapinou tout chou (sans plus)
Messages : 733 Date d'inscription : 02/03/2012 Age : 26 Localisation : dans l'éspace infini...
| Sujet: Re: Les colliers de Merlin Jeu 31 Mai - 6:49 | |
| Je me suis régalée, mais mon ventre n'est pas plein, alors, dès que possible, poste la suite! | |
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| Sujet: Re: Les colliers de Merlin | |
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