La forêt magique

Il était une fois, une foret, qui n'était pas, mais vraiment pas normale. Dans cette foret, habitaient les êtres les plus étranges que vous pouvez imaginer. Les ours étaient bleus avec des taches roses, les oiseaux petits comme des fourmis, mais leur chant s'entendait a des kilométriques, et les fourmis! les fourmis mes amis, étaient grosses comme mon poing! Bon, le problème, c'est qu'au centre de cette foret, ce trouvait un endroit appelé "le coeur". Les gens racontaient que si quelqu'un frappait le coeur, tout les bons deviendraient méchants , et que chaque fois que quelqu'un mourrait, un animal de la foret aussi, je veux dire que si je vous tuait, la, maintenant, tout de suite, automatiquement un animal, peu importe l'age, la santé, ou et qu'est-ce qu'il fait, meurt. Je ne sais pas du tout si cela est vrai, car la foret est protégée par les Nains. Les Nains, étaient des espèces de monstres, méchants, sales, puants, enfin, des trolls quoi. A côté de cette étrange foret, ce trouvait un village, un petit village perdu dans les montagnes, isole du reste du monde. Dans ce petit village habitait un garçon appelé Jeorges.


A vous de continuer!

Jeorges avait treize ans, et il allait en avoir quatorze cette même année. Il était haut, les cheveux noirs et les yeux souvent pensifs. Ses parents ne l'aimaient guère et ne lui prettaient pas attention, car voyaz vous, il avait quatorze frères et sœurs. Jeorges passait donc ses journées dans la montagne, à regarder le paysage autour de soi, à entendre les abeilles bourdonner et les feuilles s'giter. De temps en temps, il entendait le chant d'un de ces oiseaux qui habitent dans la forêt. Il se levait alors, tendait l'oreille et écoutait, fasciné.

"Un jour, j'aurais une bonne raison pour aller dans cette forêt."

Aucune vraie raison lui venait à l'esprit.
Mais un jour, il se leva le matin avec la sensation que quelque chose en lui était différente. Il s'habilla, sortit de sa chambre sans constater rien d'anormal. Quand il arriva à la table du petit déjeuner, il allait prendre un pain et le manger plus loin, comme d'habitude, mais quelque chose le retint.

"Tes... tes cheveux." balbultia l'une de ses petites sœurs.

À partir de cet instant, tous se retournèrent. Sa mère poussa un cri suraigü, ses frères s'agitèrent en le montrant du doigt, son père gronda... Ils expulsèrent le pauvre Jeorges de la maison, à coup de pied, en le poussant en l'expulsant.
Le jeune garçon resta dehors, seul et meurtri. Il ne savait pas ce qu'avait causé tout ce remuménage, et il était assez démoralisé pour penser à quoique ce soit. Il venait de perdre un foyer et une famille, cette dernière ne l'aimant pas, mais c'était une famille qu'en même.
Le jeune garçon prit alors une décision. Il irait vers la forêt magique. S'il devait mourir quelque part, se serait là-bas.
Il s'y dirigea donc de bon pas. Comme il n'avait ni bu ni mangé, il s'arrêta au bord d'une rivière. Il bu tout son soûl, et allait reprendre la marche quand quelque chose dans son reflet attira son attention.

"Qu'est ce que..."

Il passa, déconcerté, la main sur ses cheveux. C'étaient des feuilles ! Il essaya de tirer dessus, et se rendit compte que les feuilles étaient bien plantées sur son crâne. Ainsi, c'était ça ce qui avait effrayé sa famille. Ils l'avaient pris pour un monstre ! Mais... comment était ce arrivé ? Jeorges était décidé à le découvrir. Et pour cela, il devait aller dans la forêt.

Il pousuivit son chemin.Il s'arrêta brusquement.Il avait entendu un bruit.Un froissement, un craquement de feuilles.Ne voyant personne, il appela:
"Il y a quelqu'un?"
Pas de réponse. Puis, des petits bruits de pas se firent entendre. C'était une sorte de petit être de taille moyenne, portant une feuille de nénufar en guise de chapeau.Il portait un masque en écorce de chêne, orné de petites perres polies et plates.Ses chaussures étaient des pétales cousus avec de l'herbe verte.Son pantalon, lui arrivant jusqu'au genoux, était de la mousse verte.Sa chemise était faite en brins de paille.
-"Que fais tu ici?Pars, avant que les autres ne te voient!

-Les autres? Lesquels autres?

-Ah! Bien sur... Toi tu ne les vois pas...

-Et pourquoi pas moi?

-Parce que tu est un arbre.

-Non! Je ne suis pas un arbre! Tu mens!

Il sentait la haine monter en lui...

-Shhhhhhhhht!!!!!!Mais qu'est-ce que tu veux? Nous faire repérer???

-Excuse-moi, je ne voul...

-Arrête. Ecoute-moi attentivement. Tu vas avancer, tout doucement. Pas de geste brusque. Quand tu arriveras à ma hauteur, tu te retourneras doucement, et tu ne vas pas crier. Compris?

Il fit exactement a ce que le petit être lui avait dit, mais quand il se retourna, un énorme fauve violet aux yeux oranges le regardait attentivement. Il ne put réprimer une exclamation.

-Très bien. Maintenant, quand je dirai trois, tu vas courir le plus vite que tu pourras vers la grotte, la-bas. Tu la vois?

-Oui, mais...

-Trois! Maintenant! Cours!

Il courait le plus vite qu'il pouvait, cependant, quand il s’apprêtait à entrer dans la grotte, il se planta par terre. Littéralement.

Après quelques instants, le drole de bonhomme réaparut.
-Je t'avais bien dit que tu étais un arbre., dit-il
-Qu'est-ce-que...
-Ah, je vois. Tu n'est pas du coin, n'est ce pas?
-Ein?
-Bon, ceux que l'on appelle les "arbres" sont des gens du village là-bas. Nous, les gnomes, on essaie de vous proteger mais votre esprit est si têtu que...Bon, je vais droit au but; chaque année, les nains opposent le soleil à la lune.Vous croyez que c'est naturel, mais non.L'opposition des deux astres émet une vibration, et affecte quelqu'un, et ce quelqu'un se transforme en arbre.

- Mais... Je ne veux pas devenir un arbre, moi !"

Le gnome secoua tristement la tête.

"Tu ne peux rien y faire. Dans environ... trois mois, tu seras un arbre comme tous les autres.
- Mais... Il doit bien y avoir un moyen pour que ça n'arrive pas !"

Là encore, le petit être secoua négativement la tête, l'air désolé. Jeorges éclata en sanglots.

"C'est comme ça, la nature ne se stoppe pas. Mais..., ne pleure pas ! Tu verras, être un arbre n'est pas si déplaisant que tu le crois. tu pourras vivre pendant une centaine d'années, voir plus selon l'espèce d'arbre que tu es. Tu acueilleras les oiseaux, tu donneras de l'ombre aux autres, tu jouiras du soleil et de l'air le plus pur. tu alimenteras des animaux malheureux, tu agiteras tes branches pendant une tempête...
- ... pour après me faire coupe par un bûcheron et alimenter un feu, dit Jeorges entre deux sanglots.
- Mouais. Sur quoi vous êtes bêtes les humains."

Le silence s'établit, interrompu de temps en temps par les pleurs du petit garçon.

"Bon, en attendant, il faut te déraciner de là, déclara le gnome. Sinon le procéssus de transformation s'accèlèreras, et tu seras un arbre en moins de trois jours."

-Comment je fais?

-Ah ba je sais pas moi, je n'ai jamais été arbre! C'est toi qui doit decouvrir... Au fait, tu est peureux?

-Non pas trop, non.

-Ah, ça va alors.

-Pourquoi?

-Tu t'est planté car tu avais peur, et les animaux ne peuvent pas te faire mal quand tu est arbre. Seul les humains peuvent.

-Je comprends...

-Bon, tu te déterre?

-Oui, oui... Enfin, si j'y arrive...

Jeorges se concentra. Si il s'était planté parce qu'il avait peur, pour se détérrer il de vait penser à quelque chose de joyeux, de rassurant.
Il femra les yeux. Il pensa à une journée d'été. Le soleil haut dans le ciel, la douceur de l'après-midi, le gazouillement des oiseaux... Peu à peu, il sentit qulque chose près de ses pieds. Les "extensions" qu'il avait réalisé pour se planter dans le sol refluèrent peu à peu, et bientôt il était debout. Un peu étourdi, certes, mais debout.

"Voilà, tu as réussi. J'imagine que tu ne sais pas où dormir, non ?"

Jeorges fit non de la tête. Il sentait un léger malaise, comme si on l'avait forcé à abandonner quelque chose de très cher.

"Alors suis moi, je vasi t'emmener au camp."

Même si la fatigue l'alourdissait, il la suivit dans les buissons.Après avoir suivi un sentier à peine visible, Jeorges arriva dans une grande prairie.
-Attention, le tobogan d'entrée est très glissant!,prévint le gnome
-Mais...
La tête du petit être disparut dans un trou.Jeorges s'approcha de l'endroit paar où était passé son camarade.

Et il glissa:

-Aaaaaaaaaaaaaaaaahh!!!!!!!

Pof. Il se retrouva dans une petite cabane, pleine de petits gnomes comme son ami, qui arrêtèrent leurs travaux et le regardèrent. Un homme sortit d'entre eux.

-Oh, oh, oh...Qu'est- ce que tu nous apportes, Daclic?

-Rien de spécial Monsieur, un autre futur arbre...

-Et comment il s'appelle "l'arbre"?

-Jeorges Monsieur.

-C'est bien Daclic, merci, je m'en occuperait personnellement...

-Monsieur, oui Monsieur!

-Monsieur --reprit Jeorges-- il doit bien y avoir une façon de ne pas être un arbre!

Le chef se retourna, et voyant que les autres continuaient de travailler, il chuchota:

-Suit moi.

Jeorges s'éxécuta.Le gnome chef emprunta une galerie creusée dans la terre qui débouchait dans une vaste salle. Une pierre plate en guise de table, sur laquelle était posé un bol contenant de l'eau de pluie.Deux souches d'arbre servaient de chaises.
-Mon cher ami, commença le gnome en s'installant sur une souche, les arbres sont les arbres...
-Vous sous-entendez qu'il n'y as pas de solution?,le coupa Jeorges
-Bon, il y a une solution...Mais elle ne marche que pour certains...
-La quelle?
-Un antidote.Mais les ingrédients sont presques impossibles à trouver...J'ai besoin de l'écorce d'un chêne de 20000 d'années, un pétale de rose violette que l'on trouve au chœur de la forêt, une goutte de magma et une goutte d'eau de lune.

Jeorges vit que par l'air consterné du gnome chef, ces ingrédients étaient quasi impossibles à trouver. Mais il devait essayer. C'était la seule solution.

"J'irais chercher ces ingrédients. Demain à l'aube.
- Je comprends. Mais penses y bien avant d'y aller. La forêt est un endroit périlleux, surtout pour ceux qui ne la connaissent pas. Et je ne peux envoyer aucun gnome avec toi, car j'ai besoin de tous et de chacun de mes hommes ces temps ci.
- J'irais, répéta le jeune garçon, plus déterminé que jamais. J'ai juste besoin d'une carte pour me repérer.
- Tu auras besoin de bien plus que ça. Mais maintenant repose toi. Je vais te monter la grotte réservée aux étrangers."

Jeorges suivit le chef le long de plusieurs souterrains. Enfin, ils arrivèrent dans une cavité d'où filtrait la lumière du jour. Sur le sol était tapissé de mousse et le jeune garçon, sans hésiter, si coucha et commança à dormir à poings fermés.

-Hé!Toi!
-Hmm...
Jeorges avait eu une nuit mouvementée. Ses rêves, bien qu'il ne s'en souvienne plus, avaient été Bizarres...
Un gnome le secouait.
-Viens!Le chef veut te voir!
Il le saisit par la manche et l'entraina dans une cavitée qui débouchait dans la salle que Jeorges avait vu la veille.Le gnome chef l'y attendait.

"Bien, dit le chef, te voilà arrivé. Assieds toi."

Jeorges obéit, docile. Il faut dire qu'il était encore à moitié endormi.

"Dans ce sac, dit le chef en montrant du doigt un sac posé dans un coin, se trouvent touvent tous les outils nécessaires à ton voyage. Tu y trouvera de tout : provisions, boussole, corde, plan... et autres choses que tu découvriras par la suite.
- Je ne sais comment vous remercier monsieur...
- Ne me remercie pas mon enfant. J'aurais du envoyer des hommes acomplir ce long périple avec toi. Tu dois t'en aller maintenant. ta survie dépends du voyage que tu accompliras. Ce gnome t'emmènera vers la sortie."

Jeorge fit oui de la tête, se leva, et serra la main du vieux gnome, avant de suivre celui qui le mènerait vers la sortie... où plutôt, vers son destin.

Jeorges se dit "Je vais commencer par l'écorce.""Qui se trouve dans la FORÊT.""À se demander quelle sera ma prochaine surprise..."

Jeorge se gratta à nouveaux la tête.

"Oui, mais où trouver un arbre qui ai exactement vingt mille ans ? Et un chêne en plus !"

Après avoir longtemps réfléchi, Jeorges décida quelque chose de très pratique : marcher au hasard.

Il a laissé ses jambes se balader un peu partout. Au début, tout allait pour le mieux, mais malheureuseument, traverser la forêt sans encombre, c'est IMPOSSSIBLE. Cela se passa quand il décida de s'arrêter pour reprendre son souffle. Il prit appui sur un jeune marronier qui PARAISSAIT complètement normal. Seulement évidement, quelque chose devait arriver, c'était impératif. Une petite silhouette blanche fantômatique jaillit d'une branche.
-Inconnu, comment oses tu?! Tu as dérangé la divinitée des arbres caothiques!

Jeorge sursauta. Il avait entendu une voix. Il se retourna, regarda de tous les côtés. Rien. Il avait probablement entendu une voix. Il se rassit et continua à reprendre son souffle.
- J'ai dis : Qui ose venir déranger la divinité des arbres caothiques ?
Jeorge se retourna, le décrivit mentalement : Il avait un teint pâle, maussade, une moustache d'une taille qu'on pourrait surnommer de phénoménale. Il avait un uniforme de soldat, ce devait être un marine, pensa-t-il. Terrifié de peur, il trouva juste la force de repartir en arrière.

"Je ne vous savait pas ici..., dit Jeorge, apeuré
-Ah! Hahahahaha! Mais quel idiot! TOUT LE MONDE sait que je suis là. Petit ignorant, tu vas payer!
-Non! Attendez...
-Quoi?"
Le garçon avait essayé de gagner du temps en improvisant. Nimporte quoi, le temps que quelque chose bascule la chance de son côté. Il pria en son intérieur qu'il y ait des centaures dans la forêt et déclara:
"C'est bien cela, vous ne pouvez me faire aucun mal. Les centaures sont avec moi.
-Ces gros bouffons? J'en ai déja taillé en pièces mille deux cent quatre vingt six!"
Ouille, imprévu...Mais il ne se découragea pas:
"Ce n'est pas ça que je voulais dire. J'ai un ami...qui vous contrôle.
-À moi? Haaaaahaaaahahahahooooohohohohhihihihuuuuuu! Quelle farce! Personne n'a de contrôle sur moi! J'ai hate de le connaitre, ce gros menteur prétencieux!

Aussitôt qu'il eut dit ça, il se rua sur Jeorge, qui dût s'allonger par terre pour lui échapper.
- Pitié, pitié.. pensa-t-il.
Le coup de grâce arriva enfin. Il vit un trou dans l'arbre. Sans réfléchir, il plongea la tête la première dedans. Le fantôme, perdu, le chercha en vain et décida de boucher le trou de l'arbre. Jeorge ne pouvait plus faire marche arrière. Il y eut un coup sec et Jeorge tomba.